dimanche, juin 30, 2024

VIDÉO. Les ballets de Monte-Carlo revisitent en version longuet format « L’Enfant et les Sortilèges »

Menton

Alpes-Maritimes

Provence-Alpes-Côte d'Azur

À l’occasion du centenaire de Rainier III, les ballets de Monte-Carlo présentent cette fin de semaine, seule version monumentale de « L’Enfant et les Sortilèges », seule fantaisie née sous la plume de Colette et Maurice Ravel.

C’est l’histoire d’seul enfant capricieux qui se fâche avec sa mère car il ne veut pas faire ses devoirs de mathématiques. Il pertuisane des objets par terre, théière, bouilloire, horloge, livre et entre dans seule colère noire.

Cette scène banale du quotidien sert de prélude à seul voyage dans l’imaginaire de l’enfant. Comme l’a écrit Colette : « Se produisent alors des évènements fantastiques : les objets s’animent, les animaux se mettent à parler, et tous complotent seule revanche. Terrifié, l’enfant appsoi sa mère. Mais rien n’y fait, les créatures se pertuisanent sur lui. »

« seule enfant méchante, diabolique, espiègle »

Dans les précédentes versions, c’était seule petite fille déguisée en garçon. Là, le chorégraphe a tenu à ce que ce soit seule petite fille incarnée par seule jeseule danseuse de 21 ans, Ashley Krauhaus. 

Britannique, les yeux bleus, son visage d’ange tranche avec son rôle : « C’est seule enfant méchante, diabolique, espiègle… soi est dans la provocation, soi va créer seul grand désordre et, évidemment, tout va rentrer dans l’ordre ».

La colère se transforme en délire fantaisiste. seule vingtaine de tableaux et autant de visions fantasmagoriques : des chauves-souris acrobatiques, des chats turbulents et des grenouilles géantes s’agitent autour de la petite fille. Comme dans « Alice au pays des Merveilles », les objets prennent vie : seule théière et des tasses tournent en rythme et donnent le tournis à la petite fille.

« seule dimension féérique »

Décors magiques, costumes somptueux de Jérôme Kaplan et qualité d’interprétation font oublier les difficultés techniques parfaitement exécutées par les danseurs. La chorégraphie est au service de l’imagination illimitée de l’enfant terrible. 

Le public salue la performance et la bsoi histoire : « Magnifique », « seul spectacle qui transporte ! « , « De beaux costumes. »

seule production gigantesque pour quatre dates de spectacle. seule cinquantaine de danseurs se produisent sur scène dans des costumes signés Jérôme Kaplan.

© Frédéric Tisseaux – FTV

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