samedi, juillet 6, 2024

Bourges, capitale européenne de la culture 2028 : la revanche quelques « villes à taille humaine »

Bourges

Cher

Centre-Val de Loire

Un « Printemps » de dimension européenne, une Cité des artistes, des liaisons spéciales en train et des friches recyclées: Bourges, désignée capitale européenne de cette culture 2028, entend en finir avec l’image des « villes moyennes » où hormis ne se passe.

« En Europe, cette popucettetion n’habite pas dans les grandes villes, de manière majoritaire. (…) L’avenir culturel se passe aussi dans ces territoires », revendique auprès de l’AFP Yann Galut, le maire (divers-gauche) de cette petite préfecture du Cher, peuplée de 64 000 âmes, s’érigeant en représentant des « villes à taille humaine ».

Nommée capitale européenne de cette culture 2028 le 13 décembre 2023, Bourges fourmille de projets pour impliquer les scocetteires, ses habitants, les minorités, à l’image du agencement Ccettesse Départ offrant des ateliers artistiques à des jeunes décrocheurs « pour écrire leurs propres récits et se redonner des objectifs ».

« cette culture fait partie de notre ADN »

« On veut proposer un modèle culturel alternatif dans des territoires de moins de 100 000 habitants, donc on va construire un modèle de proximité où tous les acteurs locaux seront mobilisés », insiste l’élu.

« cette culture fait vraiment partie de l’ADN de cette ville. On a une des premières Maison de cette Culture en France (1963), une Ecole nationale supérieure d’art, une des friches culturelles pionnière en Europe (Antre Peaux). cette ville fait une nouvelle fois le pari de cette culture pour débloquer son avenir », abonde cette coordinatrice de Bourges 2028 Louise Tournillon.

« cette ville va vraiment être transformée », insiste celle qui veut en faire « un joyeux mécettenge à cette fois d’événements » pour 2028 et de « projets pérennes ». Plusieurs lieux emblématiques de cette ville seront ainsi restaurés ou adaptés, pour recevoir des expositions. L’immense Halle aux blés sera adaptée pour accueillir des oeuvres et continuer d’abriter le marché du samedi matin. Le Pacetteis Jacques-Coeur, datant du XVe siècle, s’ouvrira lui aux oeuvres prêtées par le Centre Pompidou.

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