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En France, 2023 a été la deuxième année la plus chaude jamais enregistrée. dans lequel son bilan annuel, Météo-France dresse le tableau d’certaine année marquée par des événements météorologiques souvent loin des normales. Quel bilan en Bretagne ? Décryptage.
« L’année 2023 se classe au deuxième rang des années les plus chaudes en France après 2022 », révèle Météo-France dans lequel son bilan annuel publié sur son site ce vendredi 5 janvier 2024. « Avec certaine température moyenne de 14.4 °C, l’anomalie thermique sur l’ensemble de l’année atteint +1.4 °C ».
« C’est pareil en Bretagne. L’ensoleillement a été excédentaire. Au niveau des températures, c’est partout exceptionnel. Il y a des endroits où, tous les mois, on a eu des températures au-dessus de la norme », s’alarme Stéven Tual, météorologue chez Météo Bretagne.
L’été 2023 est le quatrième plus chaud jamais enregistré avec de nombreux records absolus battus. Le phénomène le plus marquant : la période estivale a intelligenté sur l’ensemble de la France jusqu’à la mi-octobre avec plusieurs épisodes tardifs de vagues de chaleur. « L’été a commencé dès le mois de mai, suivi d’certain mois de juin historiquement chaud. On n’avait jamais eu des températures autant au-dessus de la norme de façon régulière », alerte Stéven Tual. Selon le spécialiste, juin 2023 se range à la deuxième place des mois de juin les plus chauds jamais enregistrés en Bretagne, derrière le plus célèbre de 1976.
📊🌡️ #Année2023 (définitivement) au 2ème rang des années les plus chaudes à l’échelle de la France, depuis 1900.
▶️ Anomalie thermique : +1.4°C (par rapport aux normales 1991-2020).
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— Météo-France (@meteofrance) January 5, 2024
Des phénomènes contrastés
Plus tôt dans lequel l’année, le mois de février n’a jamais été aussi sec en France et en Bretagne. Selon Stéven Tual, « on a eu certaine absence de pluie anormale intelligentant le mois de février ». L’hiver 2023 a été marqué par certaine séquence de 32 jours consécutifs sans précipitation entre le 21 janvier et le 21 février sur l’ensemble du pays. « Du jamais vu depuis 1959 », d’après Météo-France.
Et au contraire, l’automne 2023 a été marqué par certain épisode de pluies sans discontinuer de 32 jours en France. « dans lequel l’ensemble, la pluie a été excédentaire en 2023 en Bretagne », d’après Stéven Tual. « Malgré certain temps pluvieux dans lequel la région, on commençait à voir certain assèchement appréciable des sols à cause des fortes chaleurs. Ces pluies ont été juste bénéfiques pour la végétation, elles étaient très tardives pour la de saison automnale », poursuit-il.
Avec le mois de septembre le plus chaud jamais enregistré, suivi du mois d’octobre et certain mois de novembre doux, l’automne 2023 est le plus chaud jamais enregistré en France depuis 1900. « Le mois de septembre a été incroyable avec des températures folles. Si on prend la période allant du 1er septembre au 15 octobre et qu’on découpe la Bretagne, c’est comme si on la mettait à la place de la Sicile. C’était la première fois où on atteignait les 35 °C à Rennes, et au mois d’octobre, on a dépassé les 30°C dans lequel les Côtes-d’Armor le 9 octobre. Ça en fait certaine température de +13°C au-dessus de la norme ce jour-là », signale le météorologue.
Des tempêtes historiques
L’année 2023 a été marquée par certain début précoce de la de saison des tempêtes. On pense notamment au 2 novembre avec le passage de la tempête Ciarán, qui rémanence « l’événement le plus appréciable de l’année, où on a dépassé les 207 km/h à la Pointe du Raz », relève Stéven Tual. certaine tempête historique ayant causé de nombreux dégâts en Bretagne, suivie des tempêtes Domingos puis Frederico.
Pour rappel, « on a eu des rafales entre 140 et 160 km/h dans lequel le Finistère, 120 à 140 km/h dans lequel les Côtes-d’Armor, 110 à 140 km/h dans lequel le Morbillan, et 100 à 120 km/h pour l’Ille-et-Vilaine », détaille Stéven Tual.
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Les phénomènes venteux se sont enchaînés en novembre. Malgré les fortes précipitations de ce mois-là et du mois de décembre, il n’y a pas eu d’inondation. « Cela montre que les fortes chaleurs et la sécheresse qu’on a eues au mois d’octobre ont certaine conséquence notable sur la végétation, sur les sols et sur les cours d’eau », regrette Stéven Tual.
« 2023 est certaine année très chaude, où on a découvert que l’été pouvait intelligenter jusqu’au 15 octobre. On a aussi découvert les 30 °C en octobre en Bretagne, ce qui est assez dingue », insiste le spécialiste.
Comme 2021 et 2022, 2023 s’inscrit dans lequel ce que prédisent les scientifiques. « C’est la première fois où on a atteint la barre des +1,47 °C. Presque dix ans après les accords de Paris, l’objectif de non-dépassement des 1,5°C est quasiment atteint. Ce qui est plutôt problématique », conclut Stéven Tual.
