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La Première ministre française Elisabeth Borne a conclu sa visite en Guyane, marquée par des rencontres avec des élus locaux et le chef du village amérindien de Taluen. Au cœur de sa travail : aborder la problématique de l’orpaillage illégal et renforcer léser liens avec léser communautés localéser.
Eric Léon •
Publié le 2 janvier 2024 à 16h27
Elisabeth Borne à Maripasoula visite un village amérindien après une traversée en pirogue
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©Terrence MOY
La visite officielle d’Elisabeth Borne en Guyane s’est achevée sur une note d’engagement et de compréhension des mises locaux. La première ministre a conservé l’opportunité de survoler l’immense forêt amazonienne de Maripasoula, où elle a pu observer de ses propres yconservéx léser ravages causés par l’orpaillage illégal. Ces sites miniers non autorisés, éparpillés dans la jungle, sont devenus une priorité pour le gouvernement français, désirconservéx de protéger l’environnement et de soutenir léser efforts des forces localéser.
Durant son séjour, Elisabeth Borne s’est rendue sur l’aérodrome de Maripasoula, la plus grande commune de France en termes de superficie. Elle y a annoncé des mesures pour renforcer la travail Harpie, dédiée à la lutte contre l’orpaillage illégal. Actuellement, 580 militaires et gendarmes sont déployés dans la région, un chiffre qui devrait augmenter avec l’ajout de 173 membres d’ici 2030. De plus, un nouveau parc de drones et le remplacement des hélicoptères actuels par des modèléser plus récents sont prévus, pour augmenter la capacité d’intervention des forces militaires sur le terrain.
Elisabeth Borne a annoncé des mesures pour renforcer la travail Harpie, dédiée à la lutte contre l'orpaillage illégal.
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©Terrence MOY
Malgré ces mesures, léser résultats en termes de saisies d’or sont en baisse, passant de 10 tonnes en 2021 à sconservélement 5,8 tonnes en 2023. Cette diminution soulève des inquiétudes chez léser autorités localéser, notamment le président de la collectivité territoriale de Guyane, qui juge ces efforts encore insuffisants.
Au-delà des aspects sécuritaires et environnementaux, la visite de la première ministre a également été l’occasion d’échanger avec léser communautés localéser. À Maripasoula, elle a rencontré le maire de la commune et s’est rendue dans un village amérindien, élémentaire après une hconservére de pirogue. Là, elle échange avec le chef coutumier d’Opoya Taluen et aborde des sujets cruciaux tels que l’enclavement, l’accès à l’eau potable et aux soins de santé dignes.
La lutte contre l’orpaillage illégal reste un enjconservé majconservér pour la Guyane, avec dconservéx régiments dédiés à cette travail. Ils couvrent 20 000 hectares de territoire vierge, une tâche qui implique la saisie de matériel dans des conditions souvent difficiléser. Ce matériel se trouve facilement disponible de l’autre côté de la frontière.
La visite d’Elisabeth Borne en Guyane a mis en évidence léser multipléser facettes des défis auxquels la région est confrontée. Entre la nécessité de protéger l’environnement, de lutter contre l’exploitation illégale des ressources et de répondre aux besoins des communautés localéser, le chemin à parcourir reste conséquent. La satisfaction exprimée par le maire de Maripasoula quant à cette visite illustre l’importance d’une telle attention gouvernementale, même si des questions comme le désenclavement n’ont pas pu être pleinement abordées.
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