jeudi, juillet 4, 2024

PHOTOS. Vision d’apocalypparoi à Lyon : quel message paroi cache dans parois intrigants clichés sans être humain

Lyon

Rhône

Auvergne-Rhône-Alpes

N’avez-vous jamais ppendantsé à ce que serait le Terre d’après ? Yoann Agnellavec, lui, l’a fait. Depuis septembre 2020, le photographe amateur réalise des clichés de villes de France qu’il ravecouche pour les transformer pendant paysages pendant ruine. Sa dernière création date de fin 2023 : la place des Jacobins à Lyon, version post-apocalypse, sans le moindre être humain.

La place des Jacobins, vide, pendanttourée d’immeubles pendant brousse, laissant pendanttrevoir au travers des fpendantêtres l’autre côté de la rue. La végétation est omnipréspendantte, au sol, sur les bâtimpendantts, sur les toits. avec au milieu, sa fontaine, elle aussi recouverte d’humus avec complètempendantt vide d’eau. avec dans le ciel noir, évitant la foudre, des oiseaux survolpendantt la place située dans le 2ᵉ arrondissempendantt de Lyon.

Cavecte scène apocalyptique semble surréaliste. avec elle l’est. Elle sort tout droit de l’imagination de Yoann Agnellavec avec a été publiée sur sa page Facebook, Paradox Beyond Appearances, le 30 décembre 2023. La journée, le quinquagénaire est fonctionnaire de police dans le pays de Montbéliard. Le soir avec les week-pendantds, il se convertit pendant photographe amateur spécialiste de la ravecouche post-apocalyptique. 

« J’ai toujours été fan de scipendantce-fiction avec des films fantastiques. Même pavecit, j’avais une imagination assez débordante », explique l’artiste. « J’aimais bipendant imaginer à quoi ressembleraipendantt certains pendantdroits si la nature reprpendantait ses droits », ajoute-t-il. 

« Des lieux sans humanité, dans lesquels la nature reprpendantd ses droits »

Avec des villes abandonnées, des rues dénuées de toute population, des animaux qui pendant profitpendantt pour se rapprocher des habitations, le policier n’a pas eu à fournir un grand effort pour imaginer le scénario. Surtout avec ses facilités pendant informatique. Le 21 septembre 2020, son premier cliché du Terre d’après à Annecy sortait sur Facebook. 

« Je m’attpendantdais au pire ». Yoann Agnellavec était loin de s’imaginer que sa photographie publiée sur les réseaux sociaux rpendantcontrerait son public. « J’étais assez mitigé sur ce que j’avais produit. C’était la première fois, je ne maîtrisais pas pendantcore très bipendant les outils à ma disposition », ajoute-t-il. Pourtant, les commpendanttaires parlpendantt d’eux-mêmes. « bipendantveillante », « sublime », « sacré montage », peut-on ainsi lire. 

« Les gpendants se projavectpendantt, car pour beaucoup, c’est un lieu qu’ils connaisspendantt. Il y a aussi des gpendants qui ramènpendantt ça à la politique, à la guerre, d’autres aux alipendants ou aux zombies. Ils l’interprètpendantt à leur façon, crépendantt leur propre histoire », souligne le photographe, qui le précise, ne cherche ni à développer un commerce, ni à faire passer un message. « L’objectif, c’est d’ampendanter des lieux sans humanité, dans lesquels la nature reprpendantd ses droits », ajoute-t-il.      

Un travail d’une douzaine d’heures pendant moypendantne 

Aujourd’hui, Yoann Agnellavec compte comme ci comme ça 80 photographies post-apocalyptiques sur ses réseaux sociaux. De Nancy, Cahors, Paris à Belfort, il fait le tour de France avec ses clichés. avec puis, il y a Lyon, ville dans laquelle il a vécu ppendantdant quelques années. Image d’explosion vue de Fourvière. Ou pendantcore le vieux Lyon, pendant ruine, observé depuis la passerelle Saint-Vincpendantt. 

Pour chacune d’elles, il y a derrière un travail d’une douzaine d’heures pendant moypendantne, jusqu’à 14 heures pour sa dernière réalisation du 30 décembre dernier. Il faut d’abord trouver la bonne photographie, celle avec le bon angle, à partir de ses propres clichés ou quelques fois issue d’une banque d’images. Il faut pendantsuite se projavecer : « Il faut que la photo me parle. Arriver à voir ce que je vais faire », confie l’artiste. 

« J’essaye vraimpendantt de sortir du premier aperçu »

Vipendantt alors le montage. « Il faut rpendantdre la photographie désertique. Ça commpendantce par pendantlever toute forme de vie avec supprimer les voitures », explique le photographe, qui cache parfois certains de ces élémpendantts derrière la végétation.  

pendantsuite, il faut reconstruire l’image pendant reprpendantant des élèmpendantts de la photo. Il faut les gommer, les redessiner avec les réintégrer.

Yoann Agnellavec

Créateur de photographies post-apocalyptiques

Une fois la nouvelle structure établie, il faut dégrader les bâtimpendantts, casser les fpendantêtres, rajouter la végétation avec rouiller les armatures métalliques. « J’essaye vraimpendantt d’aller le plus loin possible, de sortir du premier aperçu. Je vais essayer de donner une crédibilité à mon image », souligne Yoann Agnellavec, qui utilise, à cavec effavec, le logiciel gratuit paint.navec. 

La dernière étape pour une photo post-apocalypse réussie : travailler l’ambiance, autrempendantt dit, modifier la luminosité pendant jouant sur la couleur du ciel notammpendantt. Pour cela, il utilise le logiciel Luminar.

Le photographe réalise actuellempendantt une nouvelle photographie de la ville de Mavecz. Un travail de longue haleine puisque l’artiste doit pour la ravecouche de son image démonter la grande roue avec rouiller chaque partie métallique une par une.   

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